Comité International pour la Libération Immédiate
des Prisonniers Politiques de la Guerre Anti-Drogues

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Bernard Rappaz
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par Rafi le 18/11/2010 Top Free Rappaz

Une chanson de Faye


Free Rappaz
open the barriers
what is the matter
no one has been hurt

Free Rappaz
is anyone died ?
don't tell me no lie
where is the scandal

Free Rappaz
who are the criminals
hypocrites stand all
devil in disguise

Free Rappaz
why would you let him die ?
you are the hunters
friend of the banksters

Free Rappaz
while Wall street bury us
this is a mental
jail for all mankind

Free Rappaz
look at the dangerous ones
raping the young girls
killing much harder

Free Rappaz
your multinationals
don't want save us
just want slave us

Free Rappaz
So you think you're moral
you drink the champagn
when people have pain

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par SONDEREGGER Gilles le 13/11/2010 Top Rappaz est mort

Et si vous réfléchissiez un peu à qui Bernard portait préjudice...?
Rappaz est mort. La peine de mort existe donc encore bel et bien en Suisse.

Rappaz est mort. Il n'avait pas attenté à une seule vie, en avait soulagé beaucoup. Merci Bernard, d'avoir fait pousser quelque de bon pour nous.

Rappaz est mort. Mais pourquoi, en fait? Ah oui, pour avoir cultivé ce que 70% des moins de 40 ans ont fumé une fois au moins dans leur vie. Sans en mourir. Pour avoir cultivé ce qui aux USA est prescrit comme un médicament, homéopathique, qui plus est. Un anti-douleur, un antidépresseur, un anxiolytique,un médicament miracle, pris en automédication, faute de reconnaissance politique (parce que soyons clair: au niveau scientifique, les bienfaits du chanvre sont reconnus depuis très longtemps!)

Rappaz est mort. Quel était l'enjeu, réellement? La protection des groupes pharmaceutiques, pour qui ce médicament miracle représente un manque à gagner des plus sérieux? Imaginez...si tous les consommateurs de chanvre pouvaient être mis sous Seroquel (pas de dépendance physique pour celui là, mais généralement pris à vie)...si chacun d'eux devait passer par un médecin pour avoir une ordonnance...si chacun d'eux devait aller à la pharmacie pour s'acheter ses cachets de "beuh" de synthèse... Sacré business, non? Ca en fait, des lobbies, tout ça. Et personne n'en parle ! Oups ! J'ai gaffé ??? Me ferai-je "modérer" ? Ici: peut-être. Mais je n'écris pas qu'ici !

Rappaz est mort. Et les vignerons? Pourvoyeurs d'alcoolémie, donc de pancréatites, de cirrhoses, de cancers divers, de troubles psychique et/ ou de la personnalité graves, d'actes de violence, de meurtres...mais bon...l' ISPA promet un programme "EDUCALCOOL" des plus pathétiques. Ouf, l'éthique est sauve!

Rappaz est mort. Vivent les vignerons, valaisans ou autres, puisque leurs lobbies sont si puissants, FSS, GSM, AVS (qui reçoit 90% des recettes fiscales sur les boissons alcoolisées!) Que vivent donc les pourvoyeurs de camisoles chimiques, et tous autres "médicaments" dont la dépendance foudroyante fait la fortune des quelques actionnaires tous plus influents les uns que les autres...

Rappaz est mort. Vive Vasella ! Vive Hoffman ! Vive Ebner ! Et j'en passe !

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par Un fantôme le 15/10/2010 Top Nouveauté : Des tee-shirts à l'effigie de Bernard sont en vente!! Portez les et montrez votre solidarité!

Des Tee-Shirts sont disponibles pour soutenir Bernard. L'argent servira pour le soutien de Bernard Rappaz.
Ce site :

http://www.free-rappaz.ch/

propose des tee shirts à porter fièrement, plus particulièrement devant les flics et quelques agriculteurs contents de l'emprisonnement d'un de leur collègue adversaire, j'ai nommé Bernard Rappaz, la bête noire des paysans! Le loup gris (ou vert) des entrepreneurs! L'épine dans le pied de certains politiciens un peu véreux, faut bien le dire! Et le cauchemar de Mlle Esther Waeber-Kalbermatten...
Je ne me salirai pas à citer ce parti politique qui OSE user de la lettre D (pour démocratique) dans les initiales qui composent leur sigle, alors que ce qu'ils dégagent serait plutôt un nauséabond relent tantôt de mort, de fascisme, de haine, de délation, de diffamation, mais alors au grand jamais, et j'insiste sur le JAMAIS, de démocratie dont ils ignorent jusqu'à l'usage simple.

Non, restons sur le calme et doux rythme diurne/nocturne, et laissons échapper une pensée pour tous les prisonniers politiques du monde, y compris Bernard. Laissez vous bercer par la musique, l'amour, la continuité de votre respiration, qui va, vient, et de nouveau va, puis revient... Inlassablement.

Libérez Bernard Rappaz

Tee-Shirts Bernard Rappaz

Soutenez le et participez à sa lutte juste! Celle du chanvre tellement bénéfique en soi. Une plante tellement riche et agréable à cultiver, jusqu'à consommer. Ces parfums magiques qui viennent agrémenter plats et infusions... Vive le Cannabis et Vive Bernard. 50 jours sans manger justement. Depuis longtemps son corps a éliminé la moindre trace nutritive sous forme solide et généralement bonne à manger. Jusqu'au-boutiste... Espérons qu'il aura pas a aller si loin. Mais 50 jours, pour la 3e fois en moins d'un an, et à 58 ans...

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par Webmaster le 07/09/2010 Top N'hésitez pas à vous inscrire pour jeûner en solidarité avec Bernard

Le jeûne est réouvert.
Donner un, deux ou trois jours de sa vie pour soutenir la cause de Bernard, qui a été renvoyé en prison, encore, c'est bien peu mais c'est déjà ça. Là-bas c'est les montagnes Russes, en Suisse, et ça condamne en allemand... La justice, voyant la détermination de cet homme à se laisser mourir s'il le fallait, pour montrer son désaccord avec ces condamnations arbitraires, a tout d'abord accordé 15 jours de répit à l'homme. Pour le renvoyer dans une prison bien pire, et en haute sécurité qui plus est... Un homme pacifiste qui n'a jamais reculé devant ses responsabilité voyons... Tout ça pour le renvoyer chez lui en "liberté surveillée" ce qui n'a pas été du goût de la droite suisse qui s'est empressée de calculer (à la hausse) ce que cette "liberté surveillée" et surtout exceptionnelle, coûterait au contribuable, se scandalisant des efforts que l'on fait pour lui que l'on ne ferait pas pour une autre cause, car celle de Bernard est juste. Et finalement donc, le renvoyer à la case départ, à Crêtelongue.

Bernard n'est pas une girouette, ce n'est pas non plus un pantin avec lequel on peut s'amuser jusqu'à ce que le tissu craque et qu'il ne puisse plus jamais s'exprimer, ou pire, qu'il décède simplement... C'est pourtant ce que font ressentir les autorités suisses, qui le prennent véritablement pour du bétail que l'on parque et que l'on déplace au fil des décisions contradictoires, tant pour satisfaire les lobbys et leurs pressions financières, tant pour satisfaire un côté de la population qui laisserait crever une personne sans s'arrêter quelques secondes pour essayer de comprendre et peut-être de l'aider, non... L'individualisme batave typiquement suisse a vite repris le dessus sur les sentiments de compassion et sur la considération d'un activiste pacifique qui n'agit que pour le bien être de l'humanité sans s'attarder à de fioritures mannes financières. Le monde peut être sauvé certes par le cannabis, et on l'oubliera aussi vite que la mort aura emporté Jack Herer. On l'oubliera? Pas si sûr! Car tant qu'il restera des hommes intègres comme Monsieur Rappaz, qui ne courbera pas l'échine devant les accusations et les véritables malédictions dont il est victime, tant que des pylones comme celui-ci tiendront debout, alors il restera de l'espoir pour ce monde entrain de se couvrir de bitume suppurant le pétrole, grignoter peu à peu la nature sauvage pour "l'apprivoiser", la remplacer par des buildings hideux, mais surtout faits avec des matériaux qui pillent la planète, qui polluent, qui coûtent très cher, alors qu'on pourrait tout changer grâce au cannabis. Tout.

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par joman le 30/08/2010 Top Ils enferment de nouveau Bernard, il reprend sa grève de la faim !!!

TRIBUNAL FEDERAL Le recours de Bernard Rappaz a été refusé hier lors d'une séance publique. Il ne bénéficiera donc pas d'une interruption de peine. Au contraire, il a été reconduit en prison.
27 août 2010 - JEAN-YVES GABBUD

Les arguments du défenseur du chanvrier Bernard Rappaz, Me Aba Neeman n'ont pas convaincu le Tribunal fédéral. Bernard Rappaz avait demandé d'obtenir une interruption de peine jusqu'à ce que le Grand Conseil statue sur sa demande de grâce, ce qui sera fait lors de la session de novembre. La conseillère d'Etat Esther Waeber-Kalbermatten avait refusé cette demande. Le Tribunal cantonal l'a suivie dans ce refus. Hier, la Cour de droit pénal du TF, présidée par le juge Dominique Favre, a confirmé, à l'unanimité des cinq juges, la validité de la décision de la justice valaisanne.
Des motifs graves

Le TF a rappelé que la règle veut qu'une peine de prison ne soit pas interrompue. Elle ne peut l'être que lorsque des éléments particulièrement graves surviennent, notamment lors de très sérieux problèmes de santé.

Aux yeux des juges de Mont-Repos, l'état de santé de Bernard Rappaz constituait clairement un motif grave, puisque la santé d'un gréviste de la faim commence à se détériorer sérieusement après quarante jours de privation de nourriture et que le condamné de Saxon avait largement dépassé ce stade. Toutefois, a estimé la Cour, pour remédier à cette situation, il y avait des alternatives à l'interruption de peine. Il était possible de le détenir dans un milieu hospitalier à caractère carcéral et, au plus tard au moment d'une perte de connaissance consécutive à son refus de s'alimenter, il était possible de procéder à une alimentation forcée.

La volonté du détenu à propos de l'intervention médicale n'était pas clairement établie, estime le président de la Cour. Le chanvrier a certes exprimé son refus, mais tout en tenant également des propos contraires. Et, surtout, son attitude combative, notamment en s'engageant dans un processus de recours en grâce devant le Grand Conseil, n'est pas celle d'un homme qui a décidé de mourir.
L'alimentation forcée est possible

Le TF a estimé qu'une alimentation forcée d'un détenu menant une grève de la faim est possible. «Il est inadmissible qu'un détenu meure en faisant un jeûne de protestation», a déclaré Dominique Favre. Une alimentation forcée est conforme à la jurisprudence de la Cour européenne de justice, qui en accepte le principe pour éviter des séquelles neurologiques. L'alimentation ne doit toutefois pas être pratiquée de manière dégradante précise la jurisprudence européenne.

Le TF a constaté que la législation helvétique ne contenait rien à ce propos, mais que plusieurs cantons (ZH, NE et BE) prévoyaient expressément l'alimentation forcée. De l'avis de la juge Laura Jacquemoud-Rossari, l'alimentation forcée est non seulement possible, mais obligatoire si la vie d'un détenu est clairement menacée, mais cette intervention doit faire l'objet d'une décision de justice. Pour justifier une telle intervention, la juge Jacquemoud-Rossari a établi le parallèle entre l'intervention d'un médecin survenant lorsqu'un détenu a absorbé des barbituriques pour se suicider et son intervention lors d'une grève de la faim.

Le TF ne s'est pas prononcé sur le moment à partir duquel l'alimentation forcée doit être pratiquée, si c'est avant ou après le début du coma, en précisant toutefois qu'elle ne devait pas intervenir dans les premiers jours d'une action de protestation.
Bernard Rappaz est un cas unique

Le Tribunal fédéral estime que sa décision dans le cadre de l'affaire Rappaz ne créera pas un précédent, même si elle fait jurisprudence. Une grève de la faim aussi longue est inédite en Europe, a rappelé le juge Dominique Favre, à l'exception de situations survenues dans des conditions proches de guerres civiles, comme celle vécue par les indépendantistes irlandais ou celle des terroristes de la Fraction armée rouge en Allemagne.

Une étude a montré qu'en Suisse, les jeûnes de protestation ne concernent que moins de 1% des détenus. En moyenne, ces grèves ne durent que onze jours.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/valais/l-avocat-de-rappaz-n-a-pas-ete-entendu_9-219150

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par rafi le 21/07/2010 Top Bernard Rappaz cesse sa grève de la faim

Le chanvrier a arrêté sa grève de la faim, suite à la possibilité qui lui a été donnée de provisoirement purger sa peine à domicile. Il avait été condamné en novembre 2008 à cinq ans et huit mois de prison. Retour sur une longue affaire... (SwissInfo.ch)
Bernard Rappaz va se nourrir. Le gréviste de la faim est en trêve, car il pourra momentanément retourner à la maison. Mercredi, la conseillère d’Etat valaisanne (membre de l'exécutif) Esther Waeber-Kalbermatten a accepté qu’il purge momentanément sa peine à son domicile, sous de strictes conditions.

Il l’avait noté dans sa demande de grâce: «La grève de la faim est la seule arme non violente dont je dispose lorsque je suis incarcéré».

A l’Hôpital de l’Ile à Berne, le chanvrier de Saxon en Valais, se laissait mourir, gentiment. Prêt à aller au point de non retour si sa peine n’était pas suspendue jusqu’en novembre. Mois où le Grand Conseil valaisan analysera sa requête de grâce. D’ailleurs, il avait signé lundi de nouvelles directives anticipées qui appuyaient sa volonté de poursuivre sa grève de la faim, qui durait depuis plus de 100 jours (non consécutifs).

Mais désormais, Bernard Rappaz s’alimente à nouveau. Car dans l’attente de la décision du Tribunal Fédéral sur son recours, qui devrait tomber d’ici fin août, il peut poursuivre sa peine à la maison. Le Département valaisan de la sécurité a tranché en faveur du chanvrier, qui se trouvait dans un état très critique, au bord du coma.

Ainsi, la conseillère d’Etat valaisanne offre une issue provisoire au conflit d’ordre éthique qui entourait l’affaire Bernard Rappaz. En effet, le corps médical de l’Hôpital de l’Ile avait reçu l’ordre de nourrir de force le chanvrier en cas de besoin. Un ordre contraire au règlement de l’Académie suisse des sciences médicales sur les directives anticipées.

Une peine controversée

Bernard Rappaz, n’en était pas à sa première grève de la faim. Autoproclamé martyr, l’ardent défenseur du cannabis avait déjà entamé une grève lors de l’annonce de sa condamnation en novembre 2008. Cette condamnation qu’il considère comme injuste et contre laquelle il se bat toujours aujourd’hui.

Reconnu coupable de violation grave de la loi fédérale sur les stupéfiants, de gestion déloyale aggravée, de blanchiment d’argent et d’infractions à diverses lois sur les assurances sociales, Bernard Rappaz a été condamné en 2008 à cinq ans et huit mois de prison. Accusé par le Tribunal cantonal d’avoir produit et vendu entre 1997 et 2001, 1735 kilos de résine de chanvre, 65 kilos de haschich. Et d’avoir vendu 3,7 tonnes de chanvre pour un montant de 4 millions de francs.

Une peine jugée «colossale» par Bernard Rappaz. Dans un contexte où la libéralisation du cannabis était à l’ordre du jour, la condamnation peut effectivement paraître élevée. «L’affaire Bernard Rappaz est une triste histoire», relève François van der Linde, président de la Commission fédérale pour les problèmes liés aux drogues, qui se bat pour la légalisation du cannabis, en vue d’une meilleure réglementation du marché.

Mais, selon une source officielle, «la peine répond aux infractions, notamment à la violation grave de la loi fédérale sur les stupéfiants, qui peut occasionner de un an à 20 ans de réclusion. Pour fixer la peine, le juge tient compte de la gravité de la faute et de la personnalité du prévenu.»

«Dans le cas de Bernard Rappaz, la faute a été jugée sévèrement, car il a agi alors qu’il était déjà sous infraction pénale, pour le même motif. De plus, à son arrestation en 2001, il détenait 52 tonnes de chanvre, avec une teneur en THC (substance psychoactive du cannabis) élevée (ndlr : jusqu’à 40%).»

Lutte pour la légalisation

«Pionnier du chanvre» Bernard Rappaz défend depuis toujours les multiples qualités de cette plante. Sa condamnation en novembre 2008, est survenue en plein débat sur l’initiative «pour une politique raisonnable en matière de chanvre protégeant efficacement la jeunesse», visant la dépénalisation de la consommation, de l’achat et de la culture du chanvre. Un projet de loi rejeté par le peuple suisse à 63% des voix.

Dès lors, dans un tel environnement, on peut se demander si la condamnation de Bernard Rappaz n’a pas durement sanctionné un homme qui désirait opérer au grand jour pour lutter en faveur de la réglementation du marché du chanvre. Et qui avait agi dans une période où la tolérance était de mise, avant le premier refus de la libéralisation par le Conseil National.

Alors, le contexte politique a-t-il été pris en compte au moment de la proclamation de la sentence ? Selon une source officielle, «la visée politique de l’action de Bernard Rappaz a été analysée. Mais, il a été retenu que celui-ci vendait son chanvre dans un but lucratif. Et que le débat politique ne portait pas sur des produits à forte teneur en THC, comme ceux proposés par le chanvrier.»

Objectif dépassé

Aujourd’hui, après le rejet définitif de suspension de l’exécution de sa peine par le Tribunal cantonal, Bernard Rappaz continue sa lutte. Il attend que les juges du Tribunal fédéral se prononcent sur le fond de son recours.

Et, surtout en apôtre du chanvre, il vise aussi comme il l’ a déclaré au quotidien alémanique Tages Anzeiger, à la légalisation du cannabis. Un combat, que François van der Linde estime vain.

«En 2008, le peuple a refusé la dépénalisation du cannabis. Comme c’est souvent le cas en Suisse, lorsqu’il y a un refus lors d’une votation, l’objet est définitivement écarté de la scène politique durant de nombreuses années. Et d’ajouter «excepté peut-être sur le plan médical, la légalisation du cannabis n’est donc plus du tout à l’ordre du jour.»

Laureline Duvillard, swissinfo.ch

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par Kailash-Yatra le 21/07/2010 Top La création divine 02

Lutter pour une idéologie
L'ordre établis par l'homme est très souvent à l'encontre de l'homme a travers l'émotion au détriments de la raison.
Je me revois souvent l'image de Mahatma Gandhi qui a lutté quasi toute son existence contre l'ordre établis,emprisonné pour ces idées il a plus d'une fois pratiqué le jeûne pour ce faire entendre,et là-haut dans le monde de la politique,savaient pertinemment qu'il avait raison,mais ne voulaient pas lâcher le morceau,jusqu'à ce qu'ils en soient devenu contraint.
Mahatma Gandhi aussi honorait la terre plutôt que les hommes perfides et sans scrupules qui considèrent la population comme du bétail à leur service que l'ont peux marquer et cataloguer à volonté.
La conseillère d'Etat Esther Waeber-Kalbermatten cherche à se donner bonne conscience en voulant nourrir Mr.Bernad Rappaz de force,pour ne pas faire de lui un martir et ne pas porter le fardeau d'avoir pris une vie innocente pour satisfaire la loi des hommes qui n'ont apparemment encore rien compris du pourquoi nous vivons sur cette merveilleuse planète,si ce n'est que pour la gloriole - le prestige - le pouvoir - la domination etc ... par l'abomination.
Hommes du peuple courage,la libération est proche,le joug satanique vit ces derniers jours et il le sait.

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par Kailash-Yatra le 18/07/2010 Top La création divine

Soutient à Bernard Rappaz
Ils l'ont dit aux infos (téléjournal TSR),et c'est la première image qui m'est apparût lorsque Mme Esther Waeber-Kalbermatten refuse de changer de cap concernant Bernard Rappaz,cette dame est et sera à toujours pour moi la mère Tacher version Suisse.
Arrêtez ce soutient inconditionnel aux décisions Américaine de guerre au Cannabis,qui n'a rien à voir avec nôtre petite santé mais plutôt de nous soustraire au droit à la Vie,parce que n'est pas qu'une simple guerre contre cette plante mais contre l'humanité.Ce monde actuel des choses ne désire pas nous voir en bonne santé,sa rapporte moins aux lobbis pharmaceutique et à l'industrie chimique.Si vraiment le haut de la pyramide nous voudrait du bien,il cesserait de nous polluer l'eau - l'air et la terre,
mais les forces maléfiques du mal représentées par les maîtres actuels de ce Monde ne désirent aucunement nous libérer du joug de l'esclavagisme sous toutes ces formes qui a été mis en place afin de nous détourner de la voie que Dieu nous propose.
N'oublions pas qu'il y a près de 4000 façons toutes positive d'employer la Cannabis,alors simplement parce que parmi elles la possibilité de la fumer existe vous aller toutes les mettre à la poubelle ???.
Qui peux se prétendre au-dessus de Dieu pour faire une loi contre sa création ? prétendre que Dieu ce serait trompé dans sa création.
Les faiseurs de lois contre-nature sont principalement chrétiens et se servent hypocritement de l'église aussi pour légitimer leurs fins,peut-être même qu'ils prient parfois et jurent sur la bible.
Redonnez les droits fondamentaux à la Nature n'est que légitime,mais vous préférez laisser partir une vie qui défend ce droit,pour satisfaire le monde politico-économique dictatorial régit par Satan lui-même,que vous soutenez (monde politique) à n'importe quel prix,tout en sachant que les jours de la bête sont compté.
Le droit au réveil vous appartient,briser les chaînes qui nous lient à ce Monde démoniaque et mécréant est devenu fondamental à la Vie.
Rendez à César ce qui lui appartient et à Dieu ce qui est à lui,et ceci à la hauteur de 50 / 50 au moins et non 98 / 2 ou 1 voir 0.
Je le répète vous avez droit à la Vie naturelle,surtout si César n'est pas d'accord,il préfère vous faire dormir avec des jeux - des distractions et toutes sortes de déviants ne favorisant pas le réveille.
Je vous souhaite à tous z'est t'à toutes bonnes chances dans les pires tribulations que l'homme va connaître s'il ne se réveille pas.

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par joman le 16/07/2010 Top Action de soutien devant les HUG

Rassemblement du 14 juillet

Bernard Rappaz n’était plus là pour les entendre, puisqu’il a été transféré lundi à l’hôpital de l’Ile à Berne. Des sympathisants à sa cause n’en ont pas moins manifesté hier soir devant les HUG à Genève, où il était hospitalisé jusque-là. C’est pour des raisons pratiques que les organisateurs ne se sont pas déplacés à Berne. Ils attendaient plusieurs dizaines de personnes, ils se sont retrouvés entre eux devant l’hôpital, tentant de sensibiliser les passants à leur cause.

Les motivations des défenseurs du gréviste différaient. «Je ne suis pas toujours d’accord avec les idées de Bernard, mais je veux défendre la cause humaine. Rappaz n’est pas un tueur! C’est une vendetta à la valaisanne!» clame Jean-Claude Gilliéron, ami du chanvrier. Son ancienne compagne et mère de leur fille assure de son côté que l’homme veut vivre, «mais il n’y a pas de dialogue possible avec les autorités. Je ne comprends pas la justice.» Une autre amie espère que cette mobilisation motive Bernard Rappaz à s’alimenter. «Si je pouvais, j’irais moi-même à Berne le forcer à manger!»

Marie-Ange Rousselot in la Tribune de Genève
http://www.tdg.ch/actu/suisse/esther-waeber-kalbermatten-fait-tousser-valais-2010-07-14

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par joman le 11/07/2010 Top MANIF GENEVE MERCREDI 14 JUILLET 18H

MOBILISATION
Bonjour a tous,

Je vous informe qu’il y aura une manifestation de soutien pour Bernard

Mercredi 14 Juillet 2010 à 15h00 devant l’entrée principale de L’hôpital universitaire de Genève

Il y a possibilité de dormir sur place, prenez vos tentes de camping, et vos sacs de couchage.

En espérant vous voir nombreux, je vous souhaite un bon week-end !!

Salutations

Gabriel

http://www.chanvre-info.ch/info/fr/Manifestation-de-soutiens-pour.html

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